automobile

Alöndö na Wiktionary

Angelë[Sepe]

Pandôo [Sepe]

automobile \ˈɔ.tə.mə.ˌbil\

  1. kêtê kukutu

Yângâ tî Ênnde[Sepe]

Pandôo [Sepe]

automobile \au.to.ˈmɔ.bi.le\

  1. kêtê kukutu

Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

Une automobile, l’Obéissante de 1875.
Une automobile de 1902.
Une automobile contemporaine.

automobile \ɔ.tɔ.mɔ.bil\ linô gâlï

  1. (Yöngö) kêtê kutukutu, kutukutu
    • Les automobiles qui montaient ou descendaient la Grand’Rue devenaient de plus en plus énormes et puissantes, passaient en ronflant à des vitesses toujours plus grandes et répandaient des odeurs toujours plus infectes. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 9)
    • Le débarquement d’une automobile à quai était une manœuvre peu familière aux employés de la petite station, et le train s’attardait, et Psyché devenait impatiente. — (Pierre LouÿsPsyché , 1927, lêmbëtï 137)
    • Dans l’intérieur, qui paraissait impraticable, des routes se sont miraculeusement ouvertes, parcourues aussitôt par des automobiles. — (Jean-Baptiste CharcotDans la mer du Groenland , 1928)
    • La place Kléber, du matin au soir, n’est plus qu’un garage ouvert où se parquent des centaines d’automobiles. — (Ludovic NaudeauLa France se regarde , 1931)
    • – Je fréquentais plutôt des gens d'automobile
      Était-ce l'allusion à son père et les mots qu'avait employés Bejardy, ce « gens d'automobile », qui sonnait un peu comme « chevalier d'industrie » ou « gentleman rider » ?
      — (Patrick ModianoUne jeunesse , Gallimard, collection Folio, 1981, lêmbëtï 113)

Âkpalêtôngbi[Sepe]

Pasûndâ [Sepe]

automobile \ɔ.tɔ.mɔ.bil\ linô kôlï wala linô gâtï

  1. tî kutukutu
    • Près de Maidstone, ils tombèrent sur une rangée de onze canons automobiles de construction spéciale, autour desquels des artilleurs affairés surveillaient avec des jumelles une sorte de retranchement qu’on établissait sur la crête de la colline. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 54)

Âlïndïpa[Sepe]