Yângâ tî Farânzi

Palî

baptiser \ba.ti.ze\

(Nzapä) sâra batême, mû batêmo, batizêe
- Il avait marié les vieux, baptisé les jeunes, enterré les aïeuls, catéchisé des générations de moutards, […]. — (« Le Sermon difficile » na Louis Pergaud, Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
- Lorsque les passions semblèrent s’être calmées, un grand nombre de juifs qui s’étaient laissé baptiser de force revinrent au judaïsme. — (Léon Berman, Histoire des Juifs de France des origines à nos jours , 1937)
- Par le baptême, on est plongé dans la mort du Christ – baptiser veut dire « plonger » –, la présence de l'Esprit se produit comme d'elle-même, l'initiative divine n'ayant pas besoin d'être relayée par un rite quel qu'il soit [...]. — (Après Jésus. L'invention du christianisme , na yïndä tî sous la dir. de Roselyne Dupont-Roc et Antoine Guggenheim, Albin Michel, 2020, lêmbëtï 273)

Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï