coi
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Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Pasûndâ [Sepe]
coi \kwa\ linô kôlï
- (Ngbêne) kpô
- Le bon sire le souffre et se tient toujours coi. — (Jean de La Fontaine, -)
- Que je me démène ou que je reste coi
Je passe pour un je-ne-sais-quoi ! — (Georges Brassens, La Mauvaise Réputation , 1952) - Tiens-toi coi… ou je viens de retrouver avec le plus joli mandat d’arrêt qui ait jamais été rédigé à ton attention…— (Morris, Lucky Luke contre Pat Poker , éditions Dupuis, 1970, lêmbëtï 32)
Âlïndïpa[Sepe]
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine
Yângâ tî Vietnäm[Sepe]
Palî [Sepe]
coi \kɔʲ˦\