croisement
Apparence
Pandôo
[Sepe]croisement \kʁwaz.mɑ̃\ linô kôlï
- sängbïngö, tëngbïngö-terê
- sangbi-lêgë/sangbilêgë
- Nous nous sommes tous rehissés dans le véhicule désencrotté, sauf le chien qui trotte comme un lièvre, dont ses longues oreilles lui donnent quelque peu la tournure ; de temps à autre il s’arrête, flaire, fait un « geste » méprisant, particulier à sa race, et repart ; il court après les poules picorant aux portes des maisons éparses sur le chemin, prend de l’avance et assis sur son derrière, nous attend au croisement des sentiers. — (Gustave Fraipont, Le Jura et le pays franc-comtois , 1895, lêmbëtï 97)
- (Bätängö) (Mbîrîmbîrî nî) dutï kôlï na ndê wâlï, büngbïngö
- Je m'explique : tout croisement a pour objet de transformer une race imparfaite en une autre plus recommandable qu'elle , ou de créer une sous-race , participant en proportions diverses aux qualités de celles qui ont concouru à sa formation. — (Malingié-Nouel, « Établissement pastoral de la Charmoise » na Le Cultivateur, journal des progrès agricoles , de novembre 1839, lêmbëtï 661)
- Les partisans des croisements anglais répondront bénévolement : employez le pur sang dans la reproduction ; […]. — (Jean Déhès, Essai sur l’amélioration des races chevalines de la France , École impériale vétérinaire de Toulouse, Thèse de médecine vétérinaire, 1868)
- L'Angleterre a modifié la qualité de ses laines par le croisement de ses races de moutons avec le bélier mérinos espagnol. — (Daniel Marie Joseph de Prat, Nouveau manuel complet de filature ; 1Modèle:re partie : Fibres animales & minérales , Encyclopédie Roret, 1914)
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï