destin
Pandôo
[Sepe]destin \dɛs.tɛ̃\ linô kôlï
- nzapä tî päsä
- Il n’y a pas à dire, mais quand les dieux ou les destins, comme vous voudrez, ont décidé qu’ils vous feraient trébucher sur la route de la gloire ou de la fortune, il est inutile de regimber. — (« La Chute » na Louis Pergaud, Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
- Les petits cadeaux du destin entretiennent l’amitié avec soi-même. — (Jean Dutourd, - )
- Le destin varie peu ses effets, comme s’il s’en tenait à quelques moyens sûrs. — (José Cabanis, Les cartes du temps , Gallimard, 1962, Le Livre de Poche, lêmbëtï 129)
- päsä, → bâa chance
- Il venait de songer, comme à un aspect spécial de l’injustice irrationnelle du destin, que ces deux hommes vivaient, alors que Kurt était mort. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 346)
- Fouquet a dû croire que tout s’achète, même le destin. — (Paul Morand, Fouquet ou Le Soleil offusqué , Éditions Gallimard, 1961)
- (Pagao) dutï
- Il a terminé son destin. — Trancher, abréger le destin de quelqu’un.
Âlïndïpa
[Sepe]- Commandant Thomas Grasser, Connaître le sängö , EMSOME, Ministère des Armées, France, juillet 2017 → dîko mbëtï