gardien
Apparence
Pandôo
[Sepe]gardien \ɡaʁ.djɛ̃\ linô kôlï
- sânzîrî
- […], les bêtes levèrent leur mufle humide et, dociles à l’invite de leur jeune gardien, gravirent le coteau pour reprendre, […], le chemin de terre bordé de haies vives aboutissant au village. — (« Un satyre » na Louis Pergaud, Les Rustiques, nouvelles villageoises , 1921)
- Il pense au gardien de la mine d’Ichmoul mettant en fuite les bandits avec les quatre cartouches de son vieux mousqueton. — (Bachaga Boualam, Les Harkis au service de la France , France-Empire, 1963, lêmbëtï 44)
- Il fit état de la tendresse et de l’affection que le couple de lions manifestait à leur gardien. — (Richard W. Burkhardt, « La voix du gardien du lion, ou les significations multiples des animaux de la ménagerie du Muséum d’Histoire Naturelle » na Armand Colin, Annales historiques de la Révolution française , Paris, juillet-septembre 2014, volume 2014/3, n° 377, âlêmbëtï 145-173 → dîko mbëtï)
- wabätängö-da
- Le gardien d’un monument public.
- Gardien de musée, de bibliothèque.
- Profitant des possibilités de sens offertes par le mot « gardien », qui peut désigner un gardien de cimetière mais aussi un gardien de zoo ou de cirque, le texte propose une descente dans le règne animal et prend dès lors l’allure d’une visite à une ménagerie de cirque. — (Pierre Schoentjes, Claude Simon par correspondance : Les Géorgiques et le regard des livres , Librairie Droz, Genève, 1995, lêmbëtï 158)
- bata-gbägbä → bâa gardien de but
Pasûndâ
[Sepe]gardien \ɡaʁ.djɛ̃\ linô kôlï
- tî bätängö
- Ange gardien.
- Renée allait, incertaine, déjà détachée, et témoignant d’une modestie indifférente et gardienne. — (Colette, Ces plaisirs , 1932, lêmbëtï 122)
Âlïndïpa
[Sepe]- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine