grâce
Apparence
Pandôo
[Sepe]grâce \ɡʁɑs\ wala \ɡʁas\ linô gâlï
- (Könöngö) nzönî-bê, nzöbê
- Le Prince […] ne peut naturellement vous recevoir en ce moment, mais il juge que votre venue est providentielle. Une dernière grâce du ciel, un heureux présage. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 137)
- Je puis croire pourtant, Sans trop de vanité, que je suis en sa grâce. — (Molière, Le Dépit amoureux , I, 3)
- paradöo, gbüngö-gerê
- Je voudrais comme vous faire grâce à son âge. — (Pierre Corneille, Sertorius , II, 1)
- Il ne faut point de grâce à qui se voit sans crime. — (Pierre Corneille, Pertharite , V, 2)
- J’aurais peine, seigneur, à lui refuser grâce. — (Pierre Corneille, Sertorius , I, 3)
- Reine, voyez pour qui vous me demandiez grâce. — (Pierre Corneille, La Mort de Pompée , IV, 5)
- Et l’on donne grâce aisément à ce dont on n'est pas le maître [et nous pardonnons aisément des transports dont on n’est pas le maître]. — (Molière, Amphitryon , II, 6)
- Elle a vu venir le coup sans demander grâce. — (Esprit Fléchier, Mme de Montausier )
- Dieu ne fait jamais grâce à qui ne l’aime point. — (Nicolas Boileau, Épîtres , 1695, XII À l’abbé Renaudot)
- S’il venait à mes pieds me demander sa grâce. — (Jean Racine, Andromaque , II, 1)
Âlïndïpa
[Sepe]- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine