joue
Pandôo
[Sepe]joue \ʒu\ linô gâlï
- (Sêndâ-saterê) ngbângbâ, gbelê
- C’est un bel homme bien en chair, élégant en effet, quoique de massive encolure, avec de larges épaules, des joues pleines, de beaux yeux noirs caressans, […]. — (Ernest Duvergier de Hauranne, Huit mois en Amérique, Revue des deux mondes, 1866 , Vol. 2005, lêmbëtï 495)
- Enfin, ayant réussi à se mettre sur son séant, le malheureux frotta sa joue contusionnée et rajusta le pansement qui lui enveloppait encore la tête. — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , gbïänngö tî Henry-D. Davray na B. Kozakiewicz, 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, lêmbëtï 240)
- Bien protégé derrière le pare-brise, le déplacement d’air provoqué par la rotation de l’hélice m’effleurait à peine les joues. — (Dieudonné Costes na Maurice Bellonte, Paris-New-York , 1930)
- Il portait un chandail rosâtre et ses joues trop fardées tournaient au lie de vin. — (Francis Carco, Images cachées , 1928)
- Il continuait son travail, mâchonnant de temps à autre une grosse chique qui tour à tour lui gonflait chaque joue […]. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï