mignon
Yângâ tî Farânzi[Sepe]
Pasûndâ [Sepe]
mignon \mi.ɲɔ̃\ linô kôlï
- (Dakûku) tî wasöngö
- Un filet mignon.
Pandôo [Sepe]
mignon \mi.ɲɔ̃\ linô kôlï
- pendere maseka
- Si j’étais un rossignol, je volerais vers toi, ma mignonne, et, du milieu des verts tilleuls, je t’enverrais, la nuit, mes chansons. — (Heinrich Heine, Intermezzo lyrique , traduction de Gérard de Nerval, 1822-1823, n°54)
- Pauline, ma vieille camarade de l'école maternelle, s'étonnait, devenue grand-mère, des façons de ses petits-enfants. «Ils sont drôles, ces mignons, disait-elle. Il leur faut leur scouteur rien que pour aller faire pipi.» — (Maurice Genevoix, en préface à Beau-François, Plon, 1965, dans Contes et récits , Tallandier, 1987, lêmbëtï 157)
- Je ne te mentirai jamais, mon mignon, souffla-t-elle. Tu es mon chéri. Mon seul chéri. — (David Gemmell, La Légende de Marche-Mort , traduit de l'anglais par Alain Névant, Milady, 2012, chap.3)
Âlïndïpa[Sepe]
- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine