montre

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

Une montre attachée au poignet.

montre \mɔ̃tʁ\ linô gâlï

  1. (Mbäkôro) fängö
    • Un seul mandat : plaire. Tout pour la montre. — (Jean-Paul SartreLes Mots , 1964, collection Folio, lêmbëtï 30)
    • Je vivais au-dessus de mon âge comme on vit au-dessus de ses moyens : avec zèle, avec fatigue, coûteusement, pour la montre. — (Jean-Paul SartreLes Mots , 1964, collection Folio, lêmbëtï 61)
    • Faire montre de son esprit.
    • Je mis mon zèle à faire montre d’un recueillement exemplaire mais je ne sentis rien. — (Jean-Paul SartreLes Mots , 1964, collection Folio, lêmbëtï 83)
    1. (Mbäkôro) lê yê
      • Acheter du blé, du seigle sur montre.
    2. (Mbäkôro) tändängö, garâ, luma
  2. (Izîni-sâa) môndoro, môndoro tî mabôko, sâa-nbgonga, ngbonga
    • Il regarde l’heure à sa montre de Breguet, qu’il croit consulter pour la dernière fois. Il serait bien heureux de la savoir tranquillement pendue à sa cheminée de Paris. — (Prosper MériméeLettres d’Espagne , 1832, réédition Éditions Complexe, 1989, lêmbëtï 83)
    • Parmi les montres qui pendaient à la devanture de M. Goulden, il s’en trouvait une toute petite, quelque chose de tout à fait joli. — (Erckmann-ChatrianHistoire d’un conscrit de 1813 , J. Hetzel, 1864)
    • Jamais aucun oncle n’astreignit aussi implacablement ses petits-neveux à écouter le tic-tac de sa grosse montre. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 36)
    • Je comprends qu’un chef de gare ait une montre (sans quoi comment pourrait-il calculer le retard des trains ? Il y a là évidemment une nécessité sociale) … Mais je ne vois pas l’utilité, pour un alpiniste, de se munir de cet outil à découper le temps. — (SamivelL’amateur d’abîmes , 1940, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 128)
    • Je ne sais si les gens heureux n’ont pas de chemise. Mais, à coup sûr, ils sont dépourvus de montre. Et notre civilisation périra d’un excès de montres : il n’en faut plus douter. — (SamivelL’amateur d’abîmes , 1940, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 129)
    • A leurs doigts sans cal, brillent de belles bagues d'or ou d'argent. Au poignet, de grosses montres frimeuses et sophistiquées classent leurs propriétaires ; elles peuvent aussi donner l'heure. — (Louis Guillerme, Cafe-Tigui, ou les tribulations africaines d'un apprenti routard , Lulu.com, 2013, lêmbëtï 124)

Âlïndïpa[Sepe]

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï