pécheur
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Farânzi[Sepe]
Pasûndâ [Sepe]
pécheur \pe.ʃœʁ\ linô kôlï
- (Nzapä) ...
- Une âme pécheresse.
Pandôo [Sepe]
pécheur \pe.ʃœʁ\ linô kôlï
- (Nzapä) wasïökpärï
- La mère Malard, branlant son bonnet noir, en a avalé les « Ave Maria » qu’elle bavotte à mi-voix, au long des heures, pour la conversion des pécheurs. — (Jean Rogissart, Mervale, 1937)
- Elle ne parle pas ce langage, bien sûr ! Oserait-elle troquer le doux roucoulement méridional contre cette brocaille sèche, ce brocard de pierrailles qu’on jurerait de l’allemand ? Ah ! pécheresse ! — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre, 1958)
- L’opposition entre le juste et le pécheur, ou le croyant et l’impie, implique qu’aucune entité incroyante ne saurait être tolérée. — (Panayiotis Jerasimof Vatikiotis, L’Islam et l’État, 1987, traduction d’Odette Guitard, 1992, lêmbëtï 52)
- Que je le plains, pécheur, en ton heure dernière !
Les maux les plus affreux sont amassés sur toi ;
Le noir enfer, séjour rempli d’effroi,
T’attend au bout de la carrière. — (Mort du pécheur, dans Félix Dupanloup, Manuel des petits séminaires et des maisons d’éducation chrétienne) - Avouer être pécheur veut dire avouer être limité, dans l’erreur, paralysé, et reconnaître ne pas accomplir les gestes d’amour qu'on pourrait faire. — (Robert Henckes, Au rendez-vous de Cana, éditions Fidélité, Namur, 1999, lêmbëtï 128)
Âlïndïpa[Sepe]
- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed., 1995 → dîko mbëtï