porte-plume
Apparence
Pandôo
[Sepe]porte-plume \pɔʁ.tə.plym\ linô kôlï
- këmbëtï
- Elle s’était acheté un buvard, une papeterie, un porte-plume et des enveloppes. — (Gustave Flaubert, Madame Bovary , 1857)
- Henri posa son porte-plume sur la table et ses regards errèrent au hasard. — (Victor Méric, Les Compagnons de l’Escopette , Paris: Éditions de l’Épi, 1930)
- « Chez Bébé », nous pouvions aussi nous procurer avec nos deux sous, un superbe porte-plume en os où, par de petites ouvertures munies d”infimes verres grossissants, on voyait la tour Eiffel, l'Arc de Triomphe, la Colonne de la Bastille. Les porte-plume n'offraient pas toujours les mêmes vues à notre curiosité. Ce qui fait – et la tentation était grande – qu’il y avait de brefs échanges pendant la classe. Il valait mieux ne pas nous attarder dans notre contemplation. Les détours de la fantaisie et du rêve étaient rarement admis. — (Édouard Bled, Mes écoles , Robert Laffont, 1977, lêmbëtï 64)
- Vers 1910, on m’avait fait cadeau d’un porte-plume réservoir, invention toute nouvelle. [...] Tout le monde voulait avoir un porte-plume réservoir. On le mettait dans la pochette de sa veste, retenu par une agrafe. [...] le maître ne voulait pas qu’on se servît du porte-plume réservoir car la plume ne permettait pas respecter les pleins et les déliés. — (Édouard Bled, J’avais un an en 1900 , Fayard, 1987, Le Livre de Poche, lêmbëtï 368)
Âlïndïpa
[Sepe]- Musanji Ngalasso-Mwatha, Bakarî Farânzi – Lingäla – Sängö , 2013, OIF/ELAN/Présence africaine