ramure
Apparence
Pandôo
[Sepe]ramure \ʁa.myʁ\ linô gâlï
- didi, gbâgakë
- L’eau frangeait les ramures, alourdissait les fils d’araignée, imbibait les écorces gluantes, et des feuilles tombaient, çà et là, en tournant, dans le tranquille égouttement, dans le grand calme profond. — (Alphonse de Châteaubriant, Monsieur des Lourdines , 1910, Chapitre II)
- La ramure du cerf est ronde.
- La ramure du daim est plate.
- Le taureau tomba à genoux en poussant un beuglement douloureux, ayant la poignée de l’épée entre les deux épaules, comme ce cerf de saint Hubert qui portait un crucifix dans les ramures de son bois, ainsi qu’il est représenté dans la merveilleuse gravure d’Albert Durer. — (Théophile Gautier, Voyage en Espagne , Charpentier, 1859, ch. VII)
- Mon Dieu ! Que les hommes sont bêtes !
On les ferait marcher sur la tête
Facilement, je crois,
Si par malheur ils n’avaient pas
À cet endroit précis des ramures de bois. — (« J’ai deux amants » na Sacha Guitry, L’Amour masqué , opérette 1923)
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï