ratage

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Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo 1 [Sepe]

ratage \ʁa.taʒ\ linô kôlï

  1. tïngö
    • Le président de la Fédération française de voile (FFV), Jean-Luc Denéchau, a déploré, mardi, l’éviction de Clarisse Crémer par Banque Populaire après sa maternité, évoquant un « ratage collectif ». — (Journal 20 minutes , édition Paris-IDF, 8 Fulundïgi 2023, lêmbëtï 14)
    • Pour Donald Trump, le ratage des sondeurs est «historique». Si le verdict dépendra du vainqueur final, les sondages, après la débâcle de 2016, ont de nouveau nettement sous-évalué la résistance phénoménale de la base trumpiste. — (AFP, « Quel que soit le vainqueur, les sondages n'ont pas vu la résistance de Trump » na Le Journal de Montréal , 5 Nabändüru 2020)
  2. lüküngö
    • Tous deux partis de Pau l’avant-veille [...], mais arrivés à Rome depuis quelques heures à peine, par suite d’un ratage de train. — (André GideLes Caves du Vatican , 1914)
    • Il ne dénigrait jamais ses successeurs, pas plus qu’il n’éprouvait le besoin de se justifier pour les ratages ou les errements stratégiques qu’il était désormais de bon ton de lui imputer.— (Antoine BelloLes Producteurs , édition Blanche, 2015, lêmbëtï 62)
    • Jusqu’à la fin, ce jeu d’échos va répéter le besoin d’amour, la peur de la solitude. Et nous faire sentir à quel point les petits ratages entre mère et fille, qui paraissent insignifiants, ne le sont pas. — (Mathieu Perez, Le Théâtre : De si tendres liens , Le Canard Enchaîné, 5 Lengua 2017, lêmbëtï 7)

Pandôo 2[Sepe]

ratage \ʁa.taʒ\ linô kôlï

  1. (Gbâmangbôkô) bûngbi tî adeku na yâ tî mbênî mangbôkô

Âlïndïpa[Sepe]