s’arrêter
Apparence
Pandôo
[Sepe]s’arrêter \s‿a.ʁɛ.te\
- lütï, retêe
- Pendant que le nouveau venu se débitait à lui-même ce monologue, un autre cavalier, entré par l’autre bout de la rue, […], s’arrêtait et demeurait aussi en extase devant l’enseigne de la Belle-Étoile. — (Alexandre Dumas, La Reine Margot , 1886, volume I, chapitre IV)
- […], les chevaux s'arrêtent net, ployant sur leurs jarrets et rejetant la tête en arrière sous l'action brutale du mors arabe. — (Frédéric Weisgerber, Trois mois de campagne au Maroc : étude géographique de la région parcourue , Paris : Ernest Leroux, 1904, lêmbëtï 47)
- Il contemplait […] les scarabées qui couraient sur le sable chaud et s’arrêtaient tout net à l’approche de son pas. — (« Zaheira » na Out-el-Kouloub, Trois Contes de l’Amour et de la Mort , 1940)
- Un jour dans Fez, le Capitaine de Latte s’arrête à l’éventaire d’un marchand de sucreries arabes. — (Michel Droit, De Lattre, maréchal de France , Pierre Horay, éditions de Flore, 1952, lêmbëtï 21)
- La masse des véhicules s'avançait dans un grondement sur les deux routes Minsk-Vilna et Minsk-Slonin, puis s'arrêtait, bloquée parfois pendant trois heures. — (Georges Blond, L’Agonie de l'Allemagne 1944-1945 , Fayard, 1952, lêmbëtï 238)
- mû yângâ
- Si je me présentais brusquement à Marguerite, je craignais de la tuer. Le mieux peut-être serait de prévenir d’abord cette vieille femme, madame Gabin, qui logeait là. Mais il me déplaisait de mettre quelqu’un entre nous. Je ne m’arrêtais à rien. — (Émile Zola, La Mort d’Olivier Bécaille , 1879)
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï