savon

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Bâa ngâ : savöon

Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo [Sepe]

Des savons d’Alep. (1)

savon \sa.vɔ̃\ linô kôlï

  1. mokpäkpä, savöon, sabûndu
    • La chambre, tout en chaos, est pleine d’un mélange d’odeurs : savon, poudre de riz, senteur aiguë de l’eau de Cologne, dans la lourdeur du matin enfermé. — (Henri BarbusseL’Enfer , Éditions Albin Michel, Paris, 1908 ; éditions G. Crès, Paris, 1925)
    • Muni même d’un pain de savon, il prit, sur le bord d’un cours d’eau, hors la ville, son premier bain depuis seize mois. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 421)
    • Toilette du bataillon. Le barbier passe pour particulièrement francophile. Tout le monde va se raser chez lui. Chacun emporte son savon, son blaireau, son rasoir, et lui n'a guère qu'à regarder, mais enfin on se rase cher un coiffeur. — (Jean GiraudouxRetour d'Alsace - Août 1914 , 1916)
    • Pour fabriquer le savon proprement dit utilisé dans la toilette et en blanchisserie, on traite une huile ou une graisse par la soude ou la potasse ; […]. — (Marcel Hégelbacher, La Parfumerie et la Savonnerie. , 1924, lêmbëtï 157)
    • A Marseille, les juifs eurent droit de cité jusqu'au XVIe siècle, […] c'est un des leurs, Crescas Davin, qui introduisit chez elle, en 1371, la fabrication du savon. — (Léon BermanHistoire des Juifs de France des origines à nos jours , 1937)
    • Un morceau de savon traînait sur le bord de la baignoire en bois. — (Jean-Baptiste CharcotDans la mer du Groenland , 1928)
  2. (Zäzämä) süküngö
    • En tout cas, l’affaire mit Claude dans une colère dont il était coutumier, ce qui valut à Ostie, c’est-à-dire son sénat, un savon mémorable. — (Pierre Renucci, Claude , Perrin, Paris, 2012, lêmbëtï 333)

Âlïndïpa[Sepe]

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï