sucre
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Farânzi[Sepe]
Pandôo [Sepe]
sucre \sykʁ\ linô kôlï
- sûkere
- Le sucre, qu’aux jours de Louis XVI on ne trouvait que chez les apothicaires, a donné naissance à diverses professions lucratives, telles que les pâtissiers du petit-four, les confiseurs, les liquoristes et autres marchands de friandises. — (Brillat-Savarin, La Physiologie du goût, 1844)
- Le sucre était connu des anciens qui ne l’employaient qu’en très-petite quantité et comme médicament; il y a 200 ans à peine, il se vendait seulement chez les pharmaciens, à un prix très-élevé. Il est entré de nos jours pour une si large part dans l’alimentation qu'on peut le considérer comme une denrée de première nécessité. — (Edmond Nivoit, Notions élémentaires sur l’industrie dans le département des Ardennes, 1869)
- Depuis 1916-24, les betteraviers profitent de la « parité » : le même prix leur est payé par l’État pour leurs betteraves, qu'elles servent à fabriquer du sucre ou qu'il y ait distillation en alcool. — (Hubert Bonin, Histoire économique de la IVe République, Éditions Economica, 1987)
- La vie est moins amère avec un p’tit morceau de sucre. — (Chanson de Mary Poppins,)
- (Mbumbuse, Tôngbi) ...
- Ton café, c’est un sucre ou deux ?… J’en mets un ?… Deux ?… Tu prends deux sucres ?… Non ! Non ! OK, pas de problème […] — (Raymond Charretier, Café noir : nouvelles en noir et blanc, 2013)
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- Après le sucre, la grande distribution, la télévision et l’hôtellerie, c’est une nouvelle activité réunionnaise dont se sépare Jacques de Chateauvieux. — (Jacques de Chateauvieux se désengage un peu plus de La Réunion, Challenges, 28 août 2013 → dîko mbëtï)
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- (Kombûta) ...
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- (Sêmîngi) ...
Pandôo 2[Sepe]
sucre \sykʁ\ linô kôlï
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Âlïndïpa[Sepe]
- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed., 1995 → dîko mbëtï