Il aperçut non loin un officier de haute taille, en uniforme bleu, qui parlait dans un téléphone portatif […] — (H. G. Wells, La Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 133)
Le cornet à l’oreille, Aïssa, debout près du guéridon où le téléphone communiquant avec la ferme était posé, tapa du pied : — Mais qu’est-ce qu’elle fabrique !… — (Victor Margueritte, Un cœur farouche , Paris : Ernest Flammarion, 1921, lêmbëtï 147)
Enfin, la pendule-réclame Guérin-Boutron, fixée près d’une cabine de téléphone, marquait une fois pour toutes la demie de minuit, en cas de contestation. — (Francis Carco, Messieurs les vrais de vrai , 1927)
Le téléphone sonna trois fois et Max parla longuement, en fumant. Il gribouillait sur une feuille de papier près de l’appareil. — (Michel Guérin, L’Homme Déo , Grasset, 1978)
À l’obsolescence technique s’adjoint donc une obsolescence psychologique : un téléphone de deux ans est ringard, un vêtement de six mois est démodé, un écran plat est déjà bien triste face à une télévision 3D. — (Christophe Sempels et Jonas Hoffmann, Les Business models du futur : créer de la valeur dans un monde aux ressources limitées , Pearson Education France, 2012, lêmbëtï 120)
Il avait encore un vieux téléphone couleur coquille d’œuf, avec un cadran et un récepteur qui avait l’air d’un os, relié à l’appareil par un câble à spirales. — (Matthias Zschokke, Quand les nuages poursuivent les corneilles , traduit de l’allemand par Isabelle Rüf, Éditions Zoé, 2018)
Ainsi on évitera le populaire chiottes, dénotativement fort bien fait et adéquat, mais auquel adhèrent des connotations déplaisantes. On lui substitue : lieux d’aisances, lieu, cabinet, lavabos, voire téléphone ou water-closet, w.-c. vécés, etc. — (Pierre Guiraud, Les Gros Mots , 1975, lêmbëtï 24)