morgue

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Yângâ tî Angelë[Sepe]

Pandôo [Sepe]

morgue \mɔː(ɹ)ɡ\

  1. da tî kûâ
    • Police morgue

Âlïndïpa[Sepe]

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï

Espanyöl[Sepe]

Pandôo [Sepe]

morgue \sêndagô ?\

  1. dabätängö-kûâ

Yângâ tî Farânzi[Sepe]

Pandôo 1 [Sepe]

morgue \mɔʁɡ\ linô gâlï

  1. kakâ
    • Il trouva qu'elle était fille noble de bonne foi, sans morgue et sans fausse humilité. — (George SandValentine|Valentine (roman)|Valentine , 1832)
    • La caractéristique de sa physionomie, c’est la morgue, ou plutôt ce dédain, composé à dose égale de l’amour de tout ce qui est anglais et du mépris de tout ce qui ne l’est pas. — (Jules VerneClaudius Bombarnac , Paris: J. Hetzel et Cie, 1892, âlêmbëtï 4)
    • Pendant un moment, la morgue germanique lutta en lui avec la simplicité anglaise, et aussi avec sa bienveillance naturelle et sa loquacité, et elle eut le dessous. — (H. G. WellsLa Guerre dans les airs , 1908; Paris: Mercure de France, édition de 1921, traduction d’Henry-D. Davray et B. Kozakiewicz, lêmbëtï 174)
    • Dans cette génération, on n’aura pas vu une autre beauté aussi parfaite, aussi familière. Elle était courtoise comme une princesse à qui les parvenus n’ont pas encore appris la morgue. — (Pierre Drieu La RochelleLe Feu follet (1931))
    • Au début du mandat, cette morgue sociale, qui n’est pas nouvelle, était acceptée par les Français car il y avait une promesse d’amélioration de leur situation. — (Cédric Pietralunga, « Macron au risque de l’arrogance » na Le Monde , en ligne le 18 septembre 2018 → dîko mbëtï)
    • Ces échecs au fond n’étaient pas les miens, ils étaient bien plus directement ceux des conseillers négociateurs, espèce rare et vaine dont les insuccès répétés n’entamaient nullement la morgue. — (Michel HouellebecqSérotonine , Flammarion, 2019, lêmbëtï 30)

Pandôo 2[Sepe]

Vue d’une morgue.

morgue \mɔʁɡ\ linô gâlï

  1. da tî kûâ
    • L'accueil était plutôt lugubre : un employé au teint pâle revêtu d'un couvre-tout gris et dont le prénom devait être Urgel, comme dans Urgel Bourgie, demandait à la personne la raison de sa visite et la dirigeait généralement vers l'escalier menant à la morgue, en disant tout simplement sur un ton caverneux : « C'est en bas ». — (Robert CôtéMa guerre contre le FLQ , Editions Trait d'union, 2003, lêmbëtï 172)

Âlïndïpa[Sepe]

  • Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï