fort
Apparence
Pasûndâ
[Sepe]fort \fɔʁ\ linô kôlï
- kpëngbä/kpïngbä
- C’est une phrase surutilisée du penseur allemand Friedrich Nietzsche: «Ce qui ne me tue pas me rend plus fort.» — (Frédéric Tremblay, Nous rendre plus forts , journaldequebec.com, 24 Mbängü 2021)
- Être fort comme un roc.
- Avoir une forte constitution.
- Il n’est pas assez fort pour porter tout cela.
- ngangü
- Vous aurez affaire à forte partie.
- Un homme est bien fort quand il a pour lui la conscience.
- La raison du plus fort.
- Voix forte,
- tî kpïngbängö
- Colle forte.
- Cette toile est forte, elle durera longtemps.
- De fortes murailles.
- Cet arbre est déjà fort.
- Une planche qui n’est pas assez forte.
- Avoir la jambe forte, la main forte, etc.
- lîngbi, tî löngö, tî kodë
- Cet élève est fort en histoire, en mathématiques, en anglais.
- Il n’est pas assez fort pour traiter un pareil sujet.
- Être fort aux échecs.
- Je ne joue pas contre vous, vous êtes beaucoup plus fort que moi.
- C’est une forte tête,
- C’est une des plus fortes têtes du conseil, de l’assemblée.
- Avoir la tête forte, se dit de quelqu’un qui porte bien le vin, qui peut en boire beaucoup sans en être incommodé.
- könöngö
- La carnassière, maintenant bien remplie, pesait à ses épaules le poids de deux forts lièvres. — (Alphonse de Châteaubriant, Monsieur des Lourdines , 1910, chapitre 2)
- Elle était une de ces femmes auxquelles leur forte taille et leur prestance masculine donneraient le droit de s’habiller, sans qu’on les remarquât, en homme. — (Joris-Karl Huysmans, La Cathédrale , Plon-Nourrit, 1915)
- Joséfa n’aurait jamais cru qu’elles fussent si fortes ; elles avaient accaparé toute la graisse de la famille. — (François Mauriac, Le Mystère Frontenac , 1933, réédition Le Livre de Poche, lêmbëtï 222)
- […] une blonde à forte poitrine dont les yeux verts pétillaient d’excitation, se trémoussait sur sa chaise, jappant comme un chiot qui attend son sucre. — (Philippe Labro, L’étudiant étranger , Gallimard, 1986, lêmbëtï 261)
- (Könöngö) Avoir les traits forts.
- tî ngangü
- Il l’entraîne dans la salle à manger et débahute la bouteille de fort alcool. — (Raymond Queneau, Les Derniers Jours )
- mîngi
- Une forte troupe d’ennemis.
- Un fort parti d’opposition.
- L’armée ennemie, plus forte de moitié que la nôtre.
- ngangü, ngangü, ngangü
- Vous lui donnez là une forte tâche.
- Le plus fort est fait,
Mbasêlî
[Sepe]fort \fɔʁ\
- na ngangü
- Il poussa la porte si fort que le fer à cheval suspendu au linteau de chêne tinta faiblement. — (Jean Rogissart, Passantes d’Octobre , Paris: Librairie Arthème Fayard, 1958)
- Frappez fort.
- Heurtez plus fort.
- Poussez fort.
- Il nie fort et ferme.
- De plus fort en plus fort,
- Il crie de plus en plus fort.
- Frappez de plus fort en plus fort.
Pandôo
[Sepe]fort \fɔʁ\ linô kôlï
- (Gïngö-nyama) ndo-höndëngö-terê
- Le sanglier est dans son fort.
- Relancer une bête dans son fort.
- (Mbäkôro) wangangü
- Les forts de la halle,
- Le fort portant le faible,
- (Kebëek) ngûli
- « La chair est faible et le fort est cher » (Plume Latraverse). Faut-il préciser, ici, que « fort », en québécois, signifie « boisson à haute teneur en alcool » ? — (Jean-Paul Desbiens, Journal d’un homme farouche , Boréal, 1993, lêmbëtï 262)
- Là tout le monde va s’mettre
Tout le monde va s’mettre à parler
BMW, CLSC, TP4, IBM
TPS, PME, PDG, IGA
OCQ, OLP
Pis moi sur mon bord
M’as tomber dans l’fort. — (Richard Desjardins, chanson Le bon gars, album Tu m’aimes-tu?, 1990 )
Âlïndïpa
[Sepe]- Karan, Elke, Kêtê bakarî tî Sängö: Farânzi, Angelëe na Yângâ tî Zâmani, 1st ed. , 1995 → dîko mbëtï